Bien évidemment, la cours était déserte, et à part les débris d’un bâtiment tout récemment détruit par un incendie presque quasi involontaire, pas grand-chose ne donnait signe de vie sur les pavés de la cours des bâtisses de l’HAP.
Seul, le sol tremblait, sous l’effervescence des activités internes, que l’ont sentait être au taquet. Oui, c’était ça, ce bâtiment était tel un gros animal en hibernation, dont l’activité intérieure écumait toute sa vitalité depuis des lunes zé des lunes.
Nous parlions donc du calme bucolique des lieux qui….
*SBLAM*
-ALAIIIIIIIIID !
La grand-porte *sblama* et un vert gobelin chétif détala dans la cours en couinant, suivi de quelques secondes par ce qui semblait être une elfette en furie, corde à la main.
-Alaid ! Au pied, sale bête !
Le gobelin, quelque peu désorienté par tant d’espace libre, courut en rond dans la grand cours. Peu disposée à se laisser surprendre, l’elfette fit valdinguer le nœud de sa corde par-dessus sa tête, visant au mieux la créature. La corde fut lâchée, le nœud vint se resserrer sur la gorge de l’orconcule, lequel poussa de petits cris, continuant sa course et emportant sa propriétaire dans son sillon, laquelle glissa à plat ventre sur le sol, seulement stoppée par un sieur nain planté là…
-Humm.. Belle journée pour chasser du gobo, n’est-il pas ? Faìlte ! C’est pas souvent, qu’on voit un nain-qui-fait-coucou dans les parages… dit-elle se se relevant, avant de s’essuyant la main sur son vêtement pour la lui tendre. Vous cherchez du boulot, l’ami ?